
Depuis son petit appartement bisontin, Florence Andoka raconte à Lucille Guillet d’où est né son désir d’écrire sur Alice Neel (1900-1984), ce désir de « rendre chair » à une peintre longtemps oubliée, plus précisément à partir des vingt dernières années de sa vie qui ont traversé le New York underground. L’auteure dévoile également comment la biofiction lui a permis de mailler la réalité historique et l’imaginaire, comme de s’adresser à Neel par le truchement du tutoiement afin de créer une relation de proximité avec l’artiste dans une forme de récit rêvé ponctué de flashbacks.
Interview menée par Lucille Guillet, assistante d’édition
Jingle et post-production : Félix Pont, artiste
Suivi éditorial : Chrystelle Desbordes, directrice des éditions Les plis du ciel