
À la deuxième personne du singulier, l’auteure tisse un dialogue imaginaire avec Alice Neel (1900-1984), peintre américaine essentielle qui a côtoyé, dans les vingt dernières années de sa vie, le Tout-New York artistique et intellectuel de l’époque. À partir de cette tranche de vie où Neel rencontre (enfin) une certaine reconnaissance, Florence Andoka fait revivre les émotions, les doutes et les prises de position esthétiques et politiques de l’artiste, la relation avec ses modèles, sa peinture dans l’intimité de son atelier-logement du quartier de l’Upper West Side. Mille mercis à Florence Andoka pour sa plume et la confiance qu’elle nous a accordés.